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| | Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple |  |
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Léocadie Afanassiev
It’s childishly simple ♥ Nombre de messages : 7 Age : 32 † <b><u>Job/Couverture | Rang</u> : Tatoueuse † <b><u> Petit Plus </b></u&g : Aucun. Date d'inscription : 11/02/2009 ¤ Fichage ¤Spécialités: CoachingPoints d'Expérience:     (1/20)Points d'influence: (0/1000) |  Sujet: Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple  Jeu 12 Fév - 1:03 | |
| I. Talk me, about you – Briefing.■ Noms & Prénoms : Afanassiev Léocadie Désirée Caprice. Un nom russe, un prénom grec. Aucun doute, c’est une métis. Et ses deux autres mots, ses deux autres prénoms. Désirée… Rien ne lui va mieux. Caprice. Car il n’y a qu’un caprice pour être aussi beau.
■ Date et lieu de naissance & Âge : Léocadie est née en Russie, à Nelkan, le vingt-et-un juin pendant l’année 2028. Il faisait très chaud ce jour là, peut-être est-ce cela qui lui a ramolli le cerveau…
■ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Elle aime les hommes, leurs grandes mains, leur force qui la rassure. Leur façon de la regarder, de la faire frémir.
■ Spécialité : Coaching ! Sa gentillesse vous rend joyeux le plus triste des damnés.
■ Faction & Job : Léocadie est neutre. Elle est bien trop fragile pour être mêlée aux tourments de la rue. Pourtant, les mafieux et les chasseurs, elle les voit souvent, entrer et sortir de sa boutique. Léocadie est tatoueuse. Et pas la plus petite. II. Physique et caractère – Les grandes lignes. ■ Description physique :
Léocadie, pendant son enfance, était loin d’être une jolie petite fille. Raide comme un piquet de bois et ne possédant pas la moindre once de charme, le temps l’a un peu aidée, mais sans plus. Encore entre la femme et l’enfant, Léocadie possède peu de forme, avec sa petite poitrine et ses hanchés étroites et a encore une certaine rigidité dans ses mouvements, cette maladresse avec laquelle elle doit faire tous les jours et dont certains rient. C’est vrai que la sensualité et la grâce ne sont pas son fort.
Mais Léocadie est néanmoins quelqu’un de très énergique, vive et tendre. Toujours elle ri, sourit. Léocadie, c’est la splendeur, la jeunesse, la délicatesse. On n’ose l’approcher, la toucher, la brusquer, cette petite fleur de cristal. A peine si on la regarde, tant on a peur qu’elle se brise entre nos mains. Pourtant, elle est si attrayante qu’on ne peut s’empêcher de lui jeter quelques coups d’oeil discrets, saisissant ses gestes maladroits, ses cafouillages de petite fille, ses moues polissonnes. Et ses pommettes qui rougissent, ses prunelles d’un vert tirant vers le gris se baissant, voilées par ses longs cils noirs, quand la timidité la gagne. Puis ses lèvres rosées s’étirent en un demi-sourire, dévoilant ses dents blanches, et elle éclate de rire, Léocadie. Puis s’enfuit, en vous voyant si sérieux et elle, si heureuse.
Ah ! Que de joie emprisonnée dans ce petit corps aux formes si simples étoilé de mille et une étoiles rousses… C’est un ouragan de sentiments, de cheveux roux et fous, de regards doux, de tout, de rien. C’est Léocadie. La femme enfant. Elle joue de sa tête, de ses mains, de tout son corps, vous regarde avec hardiesse et candeur, vous invite à sourire avec elle par ses mimiques enfantines. On ne peut lui résister.
■ Description morale :
On pourrait penser que Léocadie, c’est l’innocence même. Et si vous pensez ainsi, sachez que vous avez raison. Léocadie, c’est la pureté de l’enfance. Cette simplicité qui fait son charme, cette façon de tout voir du bon côté, d’être si faible qu’on a envie de la protéger, d’être son prince charmant. Prince charmant. Ce dont elle rêvait tous les soirs, petite. Petit cœur sensible, Léocadie a été élevée aux contes de fées et romans à l’eau de rose, ce qui la rend si sensible, si fragile. Si triste.
La vie l’a bien déçue, Léocadie. Parce que la vie, c’est plus compliqué que dans les livres quand on est plus un crapaud qu’une princesse. Mais qu’importe, elle persévère, la belle ! Elle va droit, marche droit, tête levée, même si le soleil l’aveugle. La vie et ses saloperies, mieux vaut en rire qu’en pleurer ! Et cette façon d’être toujours souriante, aimable, aimante. On la prend souvent pour une sotte, tant elle est simplette. Peut-être n’a-t-on pas faux. Parce que la vie est beaucoup plus simple quand on est bête. Au moins, on ne se prend pas la tête comme tous ces intellectuels qui finissent par se pendre de désespoir. Le désespoir, Léocadie le laisse aux autres, elle n’en veut pas. Tout ce qu’elle veut, c’est une vie facile, légère, et des loisirs simples. Mais la vie n’est pas toujours si simple. La vie, c’est pas si facile à réussir. La vie, c’est facile à rater.
Et cette tristesse personne ne la connaît. Elle la porte seule, la cache comme si c’était un vice. Pour tous, elle doit rester la Léocadie guillerette, toute mignonnette. Parce qu’il y a assez de malheur sur cette terre et qu’elle ne se sent pas assez égoïste pour en rajouter. N’est-elle pas belle, sa façon d’être ? Léocadie aime vivre, même si rien n’est jamais parfait, même si rien ne va jamais comme elle le veut. Mais ce serait si ennuyant si l’on pouvait tout prévoir…
■ Aime/Aime pas : Ce qu’elle aime ? C’est si vaste ! Elle aime tout ce que les enfants adorent. Les sucreries, sauter à la corde, dans les flaques ou jouer à l’élastique, au ballon, rire, chanter, la plage, les bois… Et rire ! Faites-la rire, elle aime tant cela. Léocadie aime aussi sortir, aller en boîte, au restaurant, au cinéma. Comme les trois-quarts de la population. C’est quelqu’un de banal. Si on excepte ses relations. Elle admire les mafieux, les gangstas… les hommes qu’elle juge fort, et qu’elle a l’honneur de tatouer parfois. Elle est sûrement l’une des rares femmes à pouvoir les approcher aussi facilement ! C’est qu’elle aime ce qu’elle fait, Léocadie, et chacune de ses œuvres est un véritable bijou. Elle saisi exactement ce que veulent ceux qui en appellent à son talent, et personne ne s’est encore jamais plaint d’elle.
Sinon, la jeune femme n’aime pas qu’on la rabaisse, qu’on soit violent, qu’on hausse la voix. Fragile, elle s’en veut facilement, gobe tout ce qu’on lui dit et en vient facilement aux larmes. Elle trouve toujours dommage de voir des gens s’affronter, s’entretuer pour des histoires qu’elle ne comprend pas.
■ Signe particulier ? : Etrangement, Léocadie ne possède aucun tatouage ou piercing, ce qui fait que l’on a souvent du mal à se la représenter en tatoueuse. | |
| | | | Léocadie Afanassiev
It’s childishly simple ♥Nombre de messages : 7 Age : 32 † <b><u>Job/Couverture | Rang</u> : Tatoueuse † <b><u> Petit Plus </b></u&g : Aucun. Date d'inscription : 11/02/2009 ¤ Fichage ¤Spécialités: CoachingPoints d'Expérience: (1/20)Points d'influence: (0/1000) | | Sujet: Re: Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple Jeu 12 Fév - 1:08 | |
| III. Family & Story – Pour mieux vous connaître. ■ Famille :
Majbush Felix Afanassiev, surnommé Marvra, son père. Elle ne su jamais trop ce qu’il faisait. Tout ce que Léocadie sait, c’est qu’il a été exécuté par le pouvoir russe après plusieurs années de prison. Elle se souvient de la tendresse qu’il avait pour elle et de la méchanceté qu’il avait pour les autres. Cet homme n’a jamais été très aimé, à part par sa femme et sa fille.
Perle Maddeb, un des rares proches de son père, qui l’a éduqué à la mort de ce dernier. Prêtre perverti, il n’a jamais été galant ou un gentil avec la demoiselle, et l’a souvent rabaissée quand elle était sous sa tutelle. Ils se parlent peu à présent, Léocadie préférant l’éviter. Et on ne peut lui en vouloir, tant cet homme est âcre.
■ Histoire :
Léocadie contemplait devant elle la lourde boîte faite de bois foncé. A moitié recouverte d’un drap de velours noirs, elle intimidait la jeune fille. Il est vrai que son père était plutôt grand. Et il en fallait, une grande boîte, pour contenir le corps de son père. La douce passa, rêveuse, les doigts sur le bois lisse du cercueil. Son père était dedans. Enfermé dedans. Il n’avait pas froid, dedans ? Il n’avait pas peur ? Qu’est-ce qu’il devait faire noir dedans… Déjà, le pâle visage de son paternel s’effaçait de sa mémoire. Ne restait que son odeur. Sa forte odeur de parfum et de tabac, qui s’était posée sur tous les meubles de cette vaste mémoire. Personne ne lui avait expliqué ce qui s’était passé, à Léocadie. Il est parti en prison, elle fut placée en internat. Il est sorti de prison, mort. Une balle dans la nuque, comme c’était de tradition ici, en Russie. Mais la douce ne le savait pas. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’il n’était plus vraiment là.
Des gens vinrent, la repoussèrent loin du cercueil et partirent l’enterrer au cimetière. On oublia d’emmener Léocadie. Mais l’enfant était habituée à ce genre de traitement. Transparente, invisible. La petite se dirigea vers la salle à manger, ou restait encore, à moitié pleines, les assiettes des convives. Léocadie trouvait cela bizarre, que de manger avant d’aller enterrer un mort. Elle n’avait pas trop fin, se contenta de grappiller quelques grains de raisin, de boire un peu d’eau puis s’en alla dans sa chambre, qu’elle n’avait pas vue depuis des années. Plus grande que celle qu’elle avait à l’internat. La poussière s’était accumulée sur les meubles. Rien n’avait bougé, selon ses souvenirs. Mais elle y avait dormi si rarement, dans cette chambre. Depuis la mort de sa mère, Léocadie dormait avec son père. Sa mère, Nermina, elle n’en avait aucun souvenir. Morte quand elle avait deux ans, dans son sommeil, sans aucune explication. La gamine referma doucement la porte de sa chambre et se dirigea vers celle de son père, avec le secret espoir de le voir assis sur son lit, bien vivant. Mais il n’y avait rien, dans cette chambre. Tout aussi poussiéreuse que la sienne, et bien plus froide, étant du côté nord de la bâtisse. Léocadie se glissa en frissonnant entre les draps froids et lourds d’humidité, serrant son oreiller comme si c’était le bras de son père. Marvra avait toujours eu le corps froid, comme sa fille. Mais pas autant que l’oreiller qu’elle étreignait à présent. Le froid de l’absence.
Une douce main lui secoua l’épaule. Une dame, plutôt âgée, lui sourit tristement et lui dit de se lever, on l’attendait. Mais on l’attendait pour quoi ? Léocadie ne posa toutefois aucune question, remit ses petites chaussures vernies, passa une main dans ses cheveux et suivit la vieille dame. Elle lui dit d’attendre dans le couloir, devant une porte. Que l’on finirait bien par l’appeler. Puis l’inconnue s’en alla, s’aidant de sa canne, laissant la demoiselle, seule. La porte devant elle était fermée et d’un bois plus clair que le cercueil de son père. S’élevait de la pièce qu’elle renfermait des voix, des cris. Une dispute ? Léocadie s’assit contre le mur, passive. Pourquoi se disputait-on ? Ils riaient tous, quand ils se rendaient au cimetière. Que s’était-il donc passé ? Puis la porte s’ouvrit, et un homme qu’elle n’avait jamais vu l’appela. Léocadie pénétra dans la petite pièce, qui était avant le bureau de son père. De lourdes teintures laissaient difficilement passer la lumière de cette fin de journée et les quelques personnes qui se tenaient dans la pièce se turent à la voyant. Sauf un. Habillé en prêtre. Léocadie ne le connaissait pas, et lui non plus ne la connaissait pas. Ce qui ne l’empêcha pas de pousser une horrible exclamation.
« Bon Dieu, qu’elle est laide ! »
Un homme, plus petit que lui, les cheveux teints en rose et un autre, pas plus grand que le précédent le regardèrent de travers. Il y avait aussi une femme, au sourire sarcastique. De longs cheveux noirs, d’une beauté rare. Qui étaient ces gens ? Léocadie se contenta de hausser les épaules à leur attention. Les paroles du prêtre ne la touchèrent même pas. La demoiselle était habituée à ce genre de réaction. C’est vrai qu’elle n’était pas belle, avec des cure-dents à la place des bras et jambes, son nez à peine visible et son teint blafard. L’homme qui l’avait fait entrer dans la salle la fit s’asseoir sur un fauteuil, dans un coin sombre de la pièce. Normalement, Léocadie n’avait pas le droit de s’asseoir dessus. C’était le fauteuil de sa mère. Mais son père était mort, plus personne ne lui l’interdisait.
L’individu remonta ses lunettes et sorti de sa pochette une lettre, qui portait la fine écriture de Marvra. Son testament. Tous tournèrent leurs regards, avides, sur le bout de papier que tenait le notaire. Il se racla la gorge et se mit à le lire. Son père l’avait rédigé quelques minutes avant d’être tué, mais aucune émotion ne transparaissait au travers de ses mots. Puis vint le moment que tous attendaient. La répartition des biens.
« Je lègue à mon ami, Amador Lioubov Abt Steinmetz, la table du salon en bois de rose, en mémoire de tous les moments où, petits, nous nous cachions dessous quand sa mère, qui était alors ma nurse, nous disait d’aller nous cacher. Je lègue à cette dernière, Ljubinka Theresa Jovović, toute la vaisselle que je possède, en souvenir de toutes les fois où elle a lavé chaque assiette, verre, casserole, soupière. »
Un jeune blond, au visage inexpressif, baissa la tête, en souriant tristement.
« A mon frère Mataâri Sarah Afanassiev, je lègue tous les tableaux de maître que je possède. »
Cette fois, ce fut le damoiseau aux cheveux teints en rose qui s’agita, et fit une drôle de moue, avant de soupirer. Peut-être aurait-il espéré plus… Ou autre chose. Le notaire marqua une pause, en le regardant, avant de reprendre.
« A Minerve, dont je n’ai jamais su autre chose que son identité d’espionne, je laisse mon pavillon en Serbie. Il y reste dans les murs encore les traces de notre fusillade. »
La grande dame ri légèrement, grinçant des dents. Il lui avait promis le manoir à Nelkan et plusieurs millions. Mais c’était mieux que rien. Elle se doutait bien que Marvra ne tiendrait pas sa promesse. Il ne les tient jamais. Mais à qui revenait donc toute sa fortune ? Il ne restait plus que cet homme, habillé en prêtre, avec ses cheveux blancs qui pourtant semblait jeune. Ce dernier sourit, il était sûr que tout allait lui revenir… A qui d’autre sinon ? A cette horrible petite guenon ? L’homme l’avait déjà oubliée.
« A Perle Maddeb, je cède le manoir familial s’il accepte de s’occuper de ma fille jusqu’à sa majorité. »
Le regard de Mataâri s’assombrit. Il aurait voulu avoir le manoir. Le sourire du prêtre se figea, puis disparût. Sa fille ? Etais-ce… L’homme tourna sa tête en direction de l’enfant, assise dans un coin. Il faillit s’étrangler. Le notaire continua, exaspéré par cette famille qui se jetait sur les restes du défunt comme des hyènes affamées. Mais l’enjeu valait le coup, son client avait été homme très riche, et il comprenait un tant soi peu les réaction des différents protagonistes. De ce qu’il savait de lui, Marvra n’avait jamais été quelqu’un de très tendre.
« A ma fille Léocadie Désirée Caprice Afanassiev, je lègue le reste de mes biens et de mon argent. »
Tous les regards se tournèrent vers la fillette. Minerve aurait bien voulu avoir le manoir, quitte à devoir s’occuper de la fillette. Et Perle aurait aimé avoir le manoir sans la fillette. Ce choix ne lui convenait pas. Mais c’était quand même une belle pièce que cette bâtisse… Ah, que faire ? Le notaire le regardait, fixement. Perle finit par accepter, l’argent contrebalançant sans problème la répulsion qu’il avait envers la fillette. Mais pourquoi l’avoir choisi, lui ? Marvra le haïssait tant qu’il désirait lui pourrir la vie même après sa mort ? Tous finirent par partir, après avoir réglé quelques détails. Perle, d’un geste de la main, comme s’il chassait une mouche, dit à Léocadie d’aller chercher des affaires, ils partaient. | |
| | | | Léocadie Afanassiev
It’s childishly simple ♥Nombre de messages : 7 Age : 32 † <b><u>Job/Couverture | Rang</u> : Tatoueuse † <b><u> Petit Plus </b></u&g : Aucun. Date d'inscription : 11/02/2009 ¤ Fichage ¤Spécialités: CoachingPoints d'Expérience: (1/20)Points d'influence: (0/1000) | | Sujet: Re: Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple Jeu 12 Fév - 1:10 | |
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Tout se passa alors très vite. L’aéroport, l’avion, les Etats-Unis. Perle la traînait derrière lui, la tenant fortement par le bras, mais Léocadie avait cessé de s’en plaindre. A chaque cri qui lui échappait, le prêtre fourbe serrait encore plus son étreinte. L’homme ne regretta toutefois pas le déplacement. Un manoir, un manoir… Cette histoire lui tournait la tête. Marvra ? Qu’il reste six pieds sous terre, il ne viendrait plus l’embêter, au moins. Les deux compères ne s’étaient jamais aimés, mais n’avait jamais su se séparer vraiment. Au fil des années, ils avaient tressés une amitié de haine farouche. Et étrangement, cela n’étonnait pas perle que Marvra lui ait confié sa fille. Son frère était trop jeune, Amador risquait de lui faire du mal, Minerve trop secrète pour qu’il puisse lui faire confiance… Il était le seul qu’il connaissait assez pour savoir à quoi s’attendre. Mais ce n’était pas un peu de sentimentalisme qui allait rendre cet individu ignoble plus doux avec l’enfant. Que homme étrange que Perle ! Souriant, doux devant les fidèles qui passaient par sa paroisse, et à peine que vous lui tournez le dos qu’il fait des grimaces et autres horreurs.
Léocadie du apprendre à vivre avec lui. Son habit de prêtre ne freinait en rien ses vices. Parfois, il ne prenait pas la peine de l’enlever pour aller boire, jouer au poker ou draguer… Et l’homme supportait tellement peu Léocadie qu’il ne cessait de lui dire qu’elle était laide et bête, ce qui n’était pas tout à fait faux. Qu’elle était naïve ! Nourrie aux contes de fées et romans à l’eau de rose pendant de nombreuses années de sa vie, quand elle arrivait aux Etats-Unis elle croyait encore au prince charmant. Mais Perle s’acharna à lui faire voir la vie autrement qu’avec du rose, en lui jetant des pièces à la tête, lui disant les pires cruautés, pratiquant un langage plus bas que terre. Et ce ne fut pas à l’école que cela l’arrangea. L’adolescence fut pour elle un horrible moment de solitude. Elle fut prise comme tête de turc par tous ses autres camarades. On colla des chewing-gums dans ses cheveux, les coupa même, une fois. On mettait de la colle sur sa chaise, on ricanait quand elle approchait, gauche et peureuse.
Vers ses quatorze ans, la jeune fille se mit à sécher l’école, de peur de se faire encore maltraiter. Elle se lia alors avec diverses personnes, en traînant dans la rue. Beaucoup de gangstas, quelques mafieux, deux ou trois filles de joie… Eux ne la jugeaient pas sur son physique. Bien qu’elle ne soit pas très intelligente, ils la toléraient au tout début, puis finirent par l’intégrer à la rue. Ce fut une autre vision du monde qui s’ouvrit à elle. Et d’autres façons de vivre. Fascinée par les tatouages, elle se mit en tête de devenir tatoueurs. Ce fut le père d’un de ses amis qui lui apprit à manier l’aiguille. Léocadie avait un don pour cela, et elle se mit à tatouer bien des gens. Tout Las Vegas venait lui demander de graver dans sa peau divers signes. Perle se fichait pas mal que la petite ait cessé d’aller en cours. Elle avait arrêté ses études à seize ans, et se fit embaucher sans problèmes dans un salon de tatouage, attendant impatiemment sa majorité pour avoir le sien. La demoiselle n’était pas au courant de l’héritage important qu’elle avait. Elle avait tout oublié. C’est qu’elle n’avait que huit ou neuf ans, à cette époque. Et perle n’avait aucune envie de le lui dire. Elle s’en apercevrai bien un jour où l’autre !
Ce jour vint. Celui de sa majorité. Quand elle fut convoquée à la banque, Léocadie crut que c’est parce qu’elle avait un découvert… Mais pas du tout. On la félicita. Elle était abasourdie. Dans un coin, Perle, l’air renfrogné, la toisait. Mais ce n’était pas son argent, du point de vie de la rousse. Elle n’en voulait pas. Un argent tant convoité, empreint des peines de son père, qui la rendait lourde. Elle n’en garda qu’un peu, en donnant une grande partie à Perle, qui faillit s’étouffer quand elle lui annonça cela. Jamais il n’avait été aussi heureux de la bêtise de Léocadie ! Mais la demoiselle aspirait à une vie simple, sans superflu. Elle ouvrit une boutique, qui fut son plus grand succès. Douée et pratiquant de bas tarifs, elle ne manquait pas de clientèle.
Cela finit néanmoins par lui nuire ne serais-ce qu’un peu. La police vint mettre son nez dans tout cela, suivi des chasseurs de primes. Elle tatouait pas mal de mafieux, et si elle acceptait de leur communiquer leurs signes distinctifs, cela les aiderait grandement. Mais Léocadie, attachée au monde de la rue, ne dit jamais rien, à qui que ce soit, faisant de son art un secret professionnel. Elle sait toutefois qu’elle est surveillée par tous, et que le moindre dérapage pourrait lui coûter cher…
IV. Effet personnels – What else ?■ Inventaire des effets personnels:
Léocadie possède tout ce qu’un individu normal peut porter sur lui. Ses papiers d’identité, un peu d’argent, quelques bonbons, les clefs de sa boutique et son appartement. Elle ne possède pas d’arme, le recul d’une arme à feu lui faisant mal à l’épaule et ne sachant manier un couteau. Aussi, la demoiselle se sent en sécurité dans les rues de las Vegas et ne s’est jamais fait agressée une seule fois.
■ Véhicule: Une AC Schnitzer BMW M Coupe de couleur blanche. C’est le seul excès que s’est permis Léocadie. Elle n’a rien changé, tout est d’origine. C’est une voiture plutôt puissante, et le ronron du moteur n’est que peu dérangeant. Ce que la demoiselle craint le plus, c’est que quelqu’un la lui vole… V. Le joueur – Derrière le personnage.■ Code règlement : 
■ Comment avez-vous connu Mafia Criminae*? : par les admins, héhé.
■ Etiez-vous sur « Mafia Guerilla » ? Si oui, précisez-nous votre pseudo : Heu… pour être franc, je ne sais plus.
■ Et sur « Mafia's war » ? Si oui, précisez-nous votre pseudo : Pareil, je ne sais plus. Mémoire de poisson rouge, je sais.
■ Votre avis sur le design et sur le forum en lui-même : Mais c’est très bien, très bien. Hinhinhin.
■ Texte à mettre sous votre pseudo : It’s childishly simple ♥
■ Célébrité sur votre avatar : Anna Lutoskin n_n | |
| | | | Lorenzaccio Manzoni
Italian Crime Lord || L'amant de la Mort. Nombre de messages : 675 Age : 34 Where are you? : Si je me trouvais derrière toi, tu serais déjà six pieds sous terre. Âge RPG : 22 ans de galère! Humeur : Triste, déprimé, énervé...Envie de massacrer. † <b><u>Job/Couverture | Rang</u> : Directeur du Bellagio | Don de la Mafia Italienne † <b><u> And for a RP </b></u : I'm Busy =( † <b><u> Petit Plus </b></u&g : Alliance diamant extra pur gravée au nom de Natasja. Date d'inscription : 20/05/2008 ¤ Fichage ¤Spécialités: Stratégie.Points d'Expérience: (4/20)Points d'influence: (430/1000) | | Sujet: Re: Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple Ven 13 Fév - 0:04 | |
| Re-bienvenue!
Encore une bien jolie fiche *-* Ça ne m'étonne pas de toi ^^
Bah écoute, pour moi tout est bon..mais je devrais te mettre un PV pour « Noms trop compliqués » XDDDD *BAF*
Manque plus que l'avis de Nathy et tu pourras jouer! ^^
PS: tu étais Heh Shesha sur Mafia Guerilla et tu n'étais pas chez ces p* de plagiaires de m*de mafia's war XD | |
| | | | Léocadie Afanassiev
It’s childishly simple ♥Nombre de messages : 7 Age : 32 † <b><u>Job/Couverture | Rang</u> : Tatoueuse † <b><u> Petit Plus </b></u&g : Aucun. Date d'inscription : 11/02/2009 ¤ Fichage ¤Spécialités: CoachingPoints d'Expérience: (1/20)Points d'influence: (0/1000) | | Sujet: Re: Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple Ven 13 Fév - 0:11 | |
| Merci du compliment x)
*ne se souviens plus de la moitié de ses personnages* | |
| | | | Natasja Melnikov
Caïd • Mafia Rouge | Kapitolina Nombre de messages : 432 Age : 32 Where are you? : Mon coeur avec Lorenzaccio...Quand à moi...Priez que ce ne soit pas en face de vous! Âge RPG : 27 ans et NON je ne suis PAS vieille!!! Je descends quiconque se permet un commentaire! Humeur : Rêveuse et totalement amoureuse...Ce qui ne m'empêche pas de sortir mon flingue si on me contrarie! † <b><u>Job/Couverture | Rang</u> : Directrice du Late Night Strip Club | Caïd de la Mafia Rouge † <b><u> And for a RP </b></u : I'm Busy =( † <b><u> Petit Plus </b></u&g : Alliance diamant extra pur gravée au nom de Lorenzaccio. Date d'inscription : 12/06/2008 ¤ Fichage ¤Spécialités: Manipulation.Points d'Expérience: (4/20)Points d'influence: (380/1000) | | Sujet: Re: Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple Sam 14 Fév - 23:43 | |
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Re-Bienvenue à toi aussi ^^
Rhaa j'ai rien de plus à dire que ce que Lolo n'a déjà dis --"
Je suis pas douée...Un peu à l'ouest en plus.
Enfin on s'en fou de ma vie xD
Pour moi ça va ^^
Donc je n'ai qu'une chose à dire (ou plutôt à te donner, mon accord mais la ce sera...): VALIDE!
Re-bon jeu à toi =)
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| | | | Léocadie Afanassiev
It’s childishly simple ♥Nombre de messages : 7 Age : 32 † <b><u>Job/Couverture | Rang</u> : Tatoueuse † <b><u> Petit Plus </b></u&g : Aucun. Date d'inscription : 11/02/2009 ¤ Fichage ¤Spécialités: CoachingPoints d'Expérience: (1/20)Points d'influence: (0/1000) | | Sujet: Re: Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple Dim 15 Fév - 0:33 | |
| Merciiii ^o^ *s'en va embêter tout le monde* | |
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| | Sujet: Re: Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple | |
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| | | | | | Léocadie Afanassiev { It’s childishly simple | |
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