Cesaré un joueur dans la ville des joueurs

III. Family & Story – Pour mieux vous connaître.

■ Famille : …
CF histoire.
■ Histoire :

Cesaré est né dans un petit village en plein centre de la plus belle île, j’ai nommé la Sicile. Comme beaucoup d’homme son père faisait partie de la mafia italienne et ce fut avec une joie non dissimuler qu’il montra sa joie lorsque son fils rentra dans la vie du couple, sa mère quand à elle fut ravie d’avoir enfin un enfant depuis le temps qu’elle attendait cet événement, elle avait finit par croire qu’elle n’en aurait jamais. L’enfance du jeune garçon ce passa sans aucun accident notable, voir même le plus naturellement du monde vu la famille qu’il avait. Ce fut très tot que son père lui inculqua les valeurs qui régissait la mafia, le fameux code que tout mafieux digne de ce nom devaient connaitre sur le bout des doigts. Ce bouquins de loi qui régissait le monde du crime organiser prit rapidement la place de la bible sur la table de chevet du garçon, qui vouait une véritable admiration pour le monde que lui faisait découvrir, bien plus que le monde de piéter que tentait de lui inculquer sa mère.

Au fil des années Cesaré grandit et murit assez rapidement, mais très vite il rejeta la violence à l’état pure, il n’avait rien contre mais il préférai utiliser son cerveaux plutôt que ses muscles, et envoyer ceux qui avait des muscles faire sa sale besogne à sa place. Le véritable déclic qu’il eut dans sa vie fut lorsqu’après un désaccord avec l’un de ses petits camarade de classe, Cesaré établit un plan pour ce vengé durant tous le temps ou le plan ce concevait, le petit garçon sentait un irrésistible bonheur l’envahir plus celui-ci ce concrétisait. Finalement la vengeance eu lieu et le pauvre garçon qui avait osé piquer quelque billes avait donc finit pendu par les pieds nu come un verre à la fenètre du réfectoire, tous sa avait été possible en soudoyant l’une des grosse brute de l’école à coup de gateau. Cet évènement fut pour lui lourd de sens, sa victime avait eu la peur, la honte et le désespoir qui suintait par tous les porcs de sa peau à chaque fois qu’il le croisait maintenant, cette sensation grisait le garçon, il en voulait encore et toujours. Ce fut donc pour cette raison qu’il laissa totalement de coté les affrontement en force pour mijoter des petits plans maison afin de torturer psychologiquement ses petits adversaires.

En grandissant cette faculté ce développa, il allait toujours plus loin dans le sadisme et la méchanceté ne sachant pas vraiment lui-même ce qu’il cherchait exactement à travers sa. Tout ceci n’était qu’un jeu pour lui, un immense et vaste jeu dont les pièces était ceux qui tentait de l’emmerder, certains diront que c’était des actes totalement lâche, qu’il fallait affronter ses adversaire de face pas de façon détourner mais pour le Ventimiglia chacun était libre de mener ses vendetta comme il le souhaitait. Le jeune homme avait grandit et finit par partir à l’université ou il obtenu son diplôme de psychologue une carrière qu’il avait choisit en raison du faite que cela l’aidera à pousser ses jeux toujours plus loin et enfin il intégra sur recommandation la Cosa nostra. Il découvrit un autre monde et surtout la finalité que son jeu devait avoir, l’échec ou la tromperie menait à la mort et comme c’était la dernière barrière qu’il n’avait pas franchit dans ses jeux d’horreur.

Il eut même bientôt l’occasion de mettre ceci en pratique pour s’assurer sa fidélité le Don avait besoin de preuve concrète et pas un simple discours d’allégeance préparer à l’avance, non il fallait un meurtre, du sang sur les mains, un crime qui empêcherai de reculer la jeune recrue une fois accomplit et ce fut une chose qui tombait bien. Un comptable avait été engagé par la police et commençait à s’intéresser de trop prêt aux affaires qui faisaient office d’écran au trafic du Don, il fallait le faire disparaitre avant qu’il trouve quoi que ce soit. Une arme lui fut confier pour cette mission, un présent qu’il ne refusa pas mais qu’il ne comptait pas utiliser, il comptait bien mettre en action sa cervelle pour ce débarrasser du comptable trop curieux. Une petite enquête lui apprit que celui-ci avait des dettes, des dettes que Cesaré ce dépêcha de racheter pour lui-même et il commença son petit jeu. Il commença par envoyer des usurier toutes les heures réclamer son argent, chose parfaitement inutile mais qui avait pour avantage de l’empêcher de dormir et de commencer à rogner ses nerfs, puis vint la perte de son boulot quelque chose après annoncer par courrier, le lendemain sa femme disparaissait laissant une lettre taper à la machine comme quoi elle le quittait en emmenant les enfants, vint ensuite des huissier qui saisir l’intégralité de son mobilier afin de rembourser ses dettes et enfin vint la mort, sa famille tout comme ses voisins arrètère de lui parler et enfin des photos reçut par la poste truqué de sa femme dans le lit d’un autre. Le pauvre bourge avait tous perdu hormis une tenue en l’espace d’une semaine la seule solution qui c’était présenter à lui était la mort, il c’était donc pendu dans ce qui fut son salon.

Sa femme revint trois jours après la mort de son mari et trouva une maison en ordre comme lors de son départ et son mari pendu. Tout ce qu’avait fait Cesaré n’avait été que bluffer et jouer avec les nerfs du pauvre homme. La lettre de sa femme avait été tapée par ses soins alors qu’il avait réussir à faire partie celle-ci dans un départ express comme lors des jeux téléviser dans le nord de l’Italie, la saisie du mobilier était aussi factice mais avait permis de supprimer tous moyen de communication entre les époux et celui-ci fut reposer sitôt le suicide de l’homme accomplit. La lettre de renvoie était vrai par contre quelque billet glisser à la bonne personne avait suffit pour qu’il soit remplacer. Ses voisins et sa famille avait tous reçut un courrier comme quoi c’était une victime d’une émission de télé réalité et que pour pas perturber le jeu nul devait lui parler. Un homme avait perdu la vie sur ce qu’on pouvait appeler une partie de bluff et ces nerfs avait pas tenue, une arme magnifique que les à priori un papier officiel et personne ne ce pose de question, une disparition une lettre pas de nouvelle et on y croit. Voilà comment Cesaré opérait, en utilisant ce que les gens ne mettaient jamais en doute.

La mission avait été accomplit et nul trace de crime ne pouvait subsister à la rigueur des traces d’une blagues de mauvais gout mais les meuble étant à leur place la soit disante lettre de sa femme bruler et les photos récupérer bref un crime parfait en quelque sorte et ce fut ainsi que Cesaré rentra pleinement dans le crimes organisé. Son caractère quelque peut sans gène était un réel problème pour lui mais qui ce composait avec sa fidélité sans faille pourtant lorsque six ans plus tard il s’invita à la table d’un officier important du clan il du vite accepter la proposition qui lui avait été faite de partir à Las Vegas renforcer les effectif de la famille qui était présente la bas alors que leur guerre du pouvoir contre les russe s’intensifiai. Il y découvrit la bas une vie de luxure pour le premier débrouillard venu et quand on était capable de pousser au suicide quelqu’un le forcer à donner de l’argent était un jeu d’enfant et il y avait des casino à chaque coin de rue donc gagner de l’argent à une table de blackjack en comptant les cartes était on ne peut plus aisé.

Puis vint l’arriver du nouveau code à cause de la nouvelle politique des forces de l’ordre mit en place par le maire de la ville, qui appliquait la tolérance zéro. Pour Cesaré cela ne changea absolument rien du tout d’accord il devait être discret mais sa il l’étai déjà ses crimes était difficilement décelable, quand au nouveau code il s’en fichait, pour tout dire il n’avait même pas parcourut une ligne du dit code, l’ancien allait très bien et si il avait marcher aussi longtemps il y avait bien des raisons. Une seule chose changea réellement pour lui l’arriver de nouvelle tète pensante dans l’organisation et l’ouverture de nouveaux casino. Cesaré était un flambeur qui vivait sa vie après tout quand la mafia l’appelait il accourait pour remplir sa mission sinon il restait un parfait courant d’air.